Quand j’étais un enfant je suis grandi au quartier
Anhangabaú. Il est un vieux quartier et il y avait peu d’enfants, donc je
jouais seul au cour. Je me souviens qui une nuit j’ai demandé à une étoile que
je pouvais voler. Le prochain matin je me suis reveillé et me sentais deçu et
trahi, parce que mon désir n’a pas été réalisé.
Il y avait un parc près de chez moi appelé Parque da
Uva. Là je jouais avec un arme en plastique qui mon père m’a donné comme
cadeau, une réplique de la magnifique M16. Comme j’amais ce fusil, je passais
des heures en prétendant que j’étais un soldat, je même avais une grenade du
Rambo. Donc, au un beau jour, mes jouets sont disparus. J’ai jamais eu le
courage de questioner mes parents s’ils les ont jetés, peut-être ma joie les ont
rappelés de ses vies manqués, et ces jouets étaient les uniques que j’avais. Probablement
si j’ai les eu encore, aujourd’hui je serais d’Armée.
J’etudiais à une école du quartier Parque do Colégio.
Là j’ai connu un garçon qui pendant sept ans a été au même classe que moi. Il était
un garçon noir plus haut et plus fort, et un peu plus vieux aussi. Par quelque
raison il m’a envié, et il a passé toutes ces années en train de m’envier. J’ai
jamais compris pourquoi quelqu’un tant supérieur et plus fort pouvais envier quelqu’un
comme moi, mais depuis que j’ai le connu j’ai jamais permis ce type de
sentiment dans moi, pour ne me ressembler pas tant ridicule, manqué et
pathétique comme lui.
Un habitude ancien que je peux rappeler et qui
aujourd’hui il n’y a plus sont les sessions de Lan-house. À la avenue 9 de
Julho il y avaient plusieurs de ces maisons et beaucoup de mes amis passaient
heures là, parfois ils ont eu sessions nocturnes jusqu’à l’aube. Je n’ai pas
joué beaucoup, parce que je les trouvais trop chères et rarement j’ai eu
argent, mais les jeus ont été amusants et je les aimais. Avec la baisse de prix
et la popularisation de la ligne “broadband” cet habitude a disparu, mais ils
ont été beaucoup de sessions, championnats et amitiés faites dans ces petites
espaces d’amusement.
J’avais l’habitude d’aller au cimetière du centre-ville
avec deux amies pour boire le vin. La paix et tranquillité de cette ambiance
beaucoup me plaisais, je n’écoutais pas un seul bruit du centre-ville là-bas.
Quand je voudrais de rester seul pour réfléchir sur mes illusions d’adolescent,
je m’assoyais entre ces magnifiques tombes et je passais un temp à reposer.
J’aime cette ville, elle vis dans ma coeur. Et à le
jour que, en obscurité, je descendre à la tombe, je veux être enterré ici, à ma
chèrie ville de Jundiaí.
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